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Lutte nationale géorgienne à l’UNESCO

La lutte nationale géorgienne reconnue patrimoine culturel immatériel de l’UNESCO
L’art de la lutte traditionnelle géorgienne, élément majeur de l’identité nationale et de l’histoire du pays, a été inscrit sur la liste du patrimoine culturel immatériel de l’UNESCO par décision du comité de cet organisme international à Port Louis (Maurice).
Le phénomène, connu en géorgien chidaoba, a été ajouté à la liste lors d’une réunion du Comité intergouvernemental pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel, mercredi. La pratique est un phénomène complexe qui combine des éléments de lutte, de musique, de danse et de vêtements spéciaux («chokha») »
Les tournois [de Chidaoba] se déroulent dans une arène en plein air, entourés d’un large public […] des lutteurs tentent de se vaincre par des prises spéciales et une musique vibrante renforce la dynamique du concours », selon un communiqué de l’UNESCO publié à propos de la campagne nationale. type de lutte.
Le profil de l’organisation pour l’élément patrimonial indique également que les 200 cales et contre-réserves utilisées par les lutteurs dans le sport national témoignent de leur créativité. Chidaoba a reçu un statut national de patrimoine culturel immatériel en Géorgie en 2014, avant d’être proposée pour la liste de l’UNESCO.
La lutte nationale se joint maintenant au chant polyphonique géorgien (ajouté en 2008), à la méthode de vinification traditionnelle qvevri géorgienne (2013) et à la culture vivante de trois systèmes d’écriture de l’alphabet géorgien (2016) dans la liste internationale du patrimoine immatériel.
Le comité chargé de sélectionner les derniers ajouts à la liste du patrimoine culturel immatériel a réuni 24 États membres. Ils se sont réunis à Port Louis pour la 13e session de l’organisation, qui s’est tenue du 26 novembre au 1er décembre.
Par destinationtogeorgia|Les actualités|0 comment

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